Athanor, deuxième recueil du triptyque et suite thématique de l'Arcane d'Eden, marque une rupture avec son prédécesseur, un univers plus fournis, moins d’œuvres, mais des formes plus longues faisant de chaque poème ou texte un élément singulier, une voix à part entière.

        Sous formes de parties dont les titres prennent racine dans le nom de fleurs médicinales. Toutes ces fleurs sont autant de remèdes. Jetées au creux de l'Athanor, chaudron des alchimistes, elles se veulent être un élixir contre les mots du monde, contre les séquelles des civilisations ayant foulées la terre